Le Colibri roux (Selasphorus rufus)
mesure environ 8,5 cm de long et pèse près de 3 grammes (jusqu’à 4 pour les femelles). Il hiverne vers le Mexique, et il migre à l’ouest du Canada en Colombie britannique. Il atteint parfois le sud de l’Alaska.
Le Colibri roux (Selasphorus rufus)
mesure environ 8,5 cm de long et pèse près de 3 grammes (jusqu’à 4 pour les femelles). Il hiverne vers le Mexique, et il migre à l’ouest du Canada en Colombie britannique. Il atteint parfois le sud de l’Alaska.
ougoudougouuuuu
Mais c’est so cute !
moi je tiens à féliciter le photographe, là franchement elles sont sublimes tes photos Vincent !!! 🙂
Mici….
Hello!
Tu prouves ta valeur de photographe, Tes parents devrait t’ offrir au minimum un canon 7D…….Bisous
Pour info:
Les colibris, également appelés «oiseaux-mouches», sont les oiseaux de la famille des trochilidés, dans l’ordre des apodiformes (qui regroupe également les apodidés, ou martinets). Les colibris, qui comptent parmi eux les plus petits de tous les oiseaux, habitent les deux Amériques, de l’Alaska à la Terre de Feu. Leur plumage est coloré et brillant, leur queue présentant les formes les plus variées, avec parfois des «raquettes», et ils possèdent un bec long et fin qui, chez certaines espèces, tel le colibri porte-épée, peut être plus long que le corps. La plus grande espèce de colibri atteint 21 cm, la plus petite ne mesurant que 5 cm. Leurs nids sont très artistiques et leurs oeufs sont évidemment minuscules (typiquement 10 mm). Les colibris peuplent les milieux les plus variés; dans les Andes, ils atteignent les neiges éternelles. Les espèces montagnardes sont susceptibles d’entrer en léthargie, leur température interne tombant alors à 11 °C. Les colibris de certaines espèces sont de grands migrateurs.
Le régime alimentaire des oiseaux-mouches, s’il peut comporter des insectes, se compose essentiellement du nectar qu’ils vont chercher au fond des fleurs, grâce à leur long bec, tout en volant sur place, leurs ailes vibrant alors si rapidement qu’elles en deviennent invisibles; il arrive même que le colibri puisse voler à reculons. Ce mode de vie s’il est rare, n’est pas unique chez les oiseaux (dans l’Ancien Monde, divers passériformes, notamment les nectariniidés ou souï-mangas, et des perroquets, jouent le même rôle). En prélevant du nectar, les colibris participent à la pollinisation des fleurs et ont en conséquence une grande importance écologique.